La France compte plus de 20 millions d’internautes et 10 millions des foyers sont équipés d’ordinateurs.
Or, de nombreux risques sont encourus lors de leur usage :
· addiction
· baisse des résultats scolaires
· risque de désocialisation, d’isolement
· risque de sédentarité (et donc prise de poids)
· risque d’identification aux personnages de jeux vidéo : la notion de virtualité devient floue, la conscience du monde diminue.
· contenus indésirables et préjudiciables (haine, violence, racisme, sectarisme, pornographie)
· mauvaises rencontres (pédophilie, agréssions, …)
· trouble du sommeil et risque d’insomnie, sensation de fatigue le matin, trouble de concentration
· douleurs physiques : mal de tête, mal de dos
· problèmes visuels : troubles de la vision, fatigue visuelle
· risque d’épilepsie
Quelques conseils pour éviter tout cela :
· ne pas donner son nom, son prénom, son âge, son adresse ou son téléphone
· ne pas envoyer de photo de soi
· rester prudent : internet est comme une rue peuplée d’inconnus
· ne pas délaisser son travail scolaire
· se fixer un temps limite d’usage
· attention au blog : n’importe qui peut y accéder, se servir de son contenu ou le détourner
· toute information ou photographie est régie par des lois précises (droit d’auteur, droit sur l’image de soi,…) : attention à ne pas les enfreindre sous peine de sanction !
dimanche 29 mars 2009
samedi 28 mars 2009
Des infos, toujours des infos...
Quelques infos trouvées sur l'excellent site de l'association Le Cap, référent dans ce domaine:
D’après une étude scientifique américaine, 6% des usagers du web souffriraient de
dépendance à internet. En Alsace, où 84% des plus 15 ans sont équipés, cela représenterait… près de 70.000 personnes !
Bien entendu, ce nombre est exagéré, puisque dans un foyer toutes les personnes ne se connectent pas régulièrement. Les « addicts » seraient composés pour 2/3 d’hommes et 1/3 de femmes. Au début, seuls les 20 à 30 ans étaient concernés, aujourd’hui ce phénomène touche de plus en plus d’adolescents.
La notion de « cyber-addiction » est large et peut prendre des formes multiples : « chat » excessif, addiction aux jeux vidéos - quel qu’en soit le support -, télévision ou connexion Internet quasi-permanente, « cyber-sexualité ».
Trois stades pour passer de l’usage normal à la dépendance:
D’abord, il y a un usage simple, curieux, convivial : la découverte et la recherche de nouvelles sensations, d'expérience ou de loisirs inédits.
Ensuite, on trouve l’abus : la quête insatiable du plaisir, pour profiter des effets des produits ou d'une conduite addictive malgré les premiers méfaits. Consommer davantage dans le seul but de "vivre mieux" et/ou "moins souffrir" avec soi-même et avec les autres. C'est la recherche de la performance sous l'action d'un produit ou d'un comportement. Enfin, on peut tomber dans la dépendance ou « addiction », dont l’origine sémantique proche de la notion d’esclavage est plus appropriée. La dépendance s'installe dès que l'on ne peut plus se passer de l'objet ou de la substance choisie sous peine de souffrance physique et/ou psychique. La privation d'un comportement addictif entraîne chez l'usager une sensation de malaise, d'angoisse, d'irritabilité, allant jusqu'à la dépression.
Passer de l'abus à la dépendance, c'est passer de l'envie au besoin.
Pour en savoir plus: http://www.le-cap.org/
D’après une étude scientifique américaine, 6% des usagers du web souffriraient de
dépendance à internet. En Alsace, où 84% des plus 15 ans sont équipés, cela représenterait… près de 70.000 personnes !
Bien entendu, ce nombre est exagéré, puisque dans un foyer toutes les personnes ne se connectent pas régulièrement. Les « addicts » seraient composés pour 2/3 d’hommes et 1/3 de femmes. Au début, seuls les 20 à 30 ans étaient concernés, aujourd’hui ce phénomène touche de plus en plus d’adolescents.
La notion de « cyber-addiction » est large et peut prendre des formes multiples : « chat » excessif, addiction aux jeux vidéos - quel qu’en soit le support -, télévision ou connexion Internet quasi-permanente, « cyber-sexualité ».
Trois stades pour passer de l’usage normal à la dépendance:
D’abord, il y a un usage simple, curieux, convivial : la découverte et la recherche de nouvelles sensations, d'expérience ou de loisirs inédits.
Ensuite, on trouve l’abus : la quête insatiable du plaisir, pour profiter des effets des produits ou d'une conduite addictive malgré les premiers méfaits. Consommer davantage dans le seul but de "vivre mieux" et/ou "moins souffrir" avec soi-même et avec les autres. C'est la recherche de la performance sous l'action d'un produit ou d'un comportement. Enfin, on peut tomber dans la dépendance ou « addiction », dont l’origine sémantique proche de la notion d’esclavage est plus appropriée. La dépendance s'installe dès que l'on ne peut plus se passer de l'objet ou de la substance choisie sous peine de souffrance physique et/ou psychique. La privation d'un comportement addictif entraîne chez l'usager une sensation de malaise, d'angoisse, d'irritabilité, allant jusqu'à la dépression.
Passer de l'abus à la dépendance, c'est passer de l'envie au besoin.
Pour en savoir plus: http://www.le-cap.org/
vendredi 27 mars 2009
Définition: addiction media
· Addiction : État de besoin vis-à-vis d’une drogue ou d’une pratique (jeux, achats compulsifs…) qui marginalise l’individu et le met en souffrance. L’addiction se rapproche de la dépendance, mais elle s’étend à d’autres domaines que l’usage de drogue. Elle provoque un manque, un besoin vis-à-vis d’une activité ou d’une substance. Les personnes ayant un comportement addictif agissent par besoin et voient dans ce comportement un moyen de se sentir mieux.
· Media : Moyens de communication et de diffusion d’informations (internet, télévision, téléphone,…).
L’addiction média se centre donc sur toute dépendance à l’univers informatique. Elle a des conséquences physique et psychologique sur l’individu.
· Media : Moyens de communication et de diffusion d’informations (internet, télévision, téléphone,…).
L’addiction média se centre donc sur toute dépendance à l’univers informatique. Elle a des conséquences physique et psychologique sur l’individu.
jeudi 26 mars 2009
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