samedi 23 mai 2009
Petite info
Selon le psychologue Mr Sumi, exerçant au sein de la SEDAP (Société d’Entraide et d’Action Psychologique ) à Dijon, le délai d’une semaine marque le sceaux de la dépendance c’est à dire que si vous ne pouvez pas vous passer de vos écrans (ou tout autre produit) durant une semaine, vous pouvez vous considérer comme dépendant.
mardi 28 avril 2009
Petit rappel...
La consommation de tout produit peut évoluer sur 3 stades :
- La consommation simple
- L’abus
- La dépendance, physique et psychologique
A vous de jugez où vous en êtes!
- La consommation simple
- L’abus
- La dépendance, physique et psychologique
A vous de jugez où vous en êtes!
lundi 27 avril 2009
Un nouvel article, rédigé par une de mes élèves... pour plus d'infos!
Portable… le saviez-vous ?
Quelques statistiques pour commencer : en 2002, 15% de la population mondiale possédait un téléphone portable, aujourd’hui, ce chiffre est multiplié par 4, c'est-à-dire qu’en 2009, 60% de la population mondiale possède ce type d’appareil. Rapprochons-nous du continent qui a connu le plus fort taux d’augmentation, l’Afrique. En 2000, 2% des africains possédaient un portable ; en 2009, ils sont 25% en avoir un ! Soit une augmentation de 1350%. Autrement dit, le nombre de téléphone portable présent en Afrique a, en 7 ans, été multiplié par 12,5. Impressionnant n’est-ce pas ? On constate donc que le téléphone portable a connu une ascension importante et rapide. En effet, il s’est très vite imposé aux seins de presque toutes les sociétés, notamment [ce qui est le plus impressionnant, il me semble] de pays ne faisant pas partie des pays « dits » industrialisés. Ce mode de communication a donc connu, aux quatre coins du monde, une ascension vertigineuse, qui, en plus, ne faiblit pas…
Ce que l’on a souvent tendance à oublier, compte tenu du poids qu’occupe le portable de nos jours, c’est que nous sommes la première génération à l’utiliser. Nous ne sommes donc pas en mesure de savoir, si dans plusieurs dizaines d’années, des effets apparaîtront sur la santé des utilisateurs. En effet, certains tests ont révélé que les micros ondes émises par les téléphones sont dangereuses. Elles traversent presque tout en pénétrant profondément dans tous les milieux. Ce qui nous permet, bien évidemment, d’établir la communication grâce à des antennes. Il est donc possible que le cerveau humain subisse des sévices, à cause de ces ondes, et ce n’est pas le seul organe pouvant être touché. Lorsque l’on téléphone, le portable est collé contre la tête, la concentration d’ondes est donc forte et très près du cerveau. Mais aussi lorsque le portable se trouve dans la poche de notre pantalon par exemple, ce sont les organes reproducteurs qui sont très exposés aux ondes, et elles pourraient nuire aux ovaires et testicules, et donc altérer les organes reproducteurs, voir même aller jusqu'à engendrer la stérilité.
De plus, comme tous appareils électriques, les téléphones portables émettent des rayonnements électromagnétiques. Lorsque nous dormons, notre organisme perd une part de ses défenses face aux agressions extérieures ce qui nous rend particulièrement sensibles aux rayonnements. Ils perturbent le sommeil et le rend moins efficace, ce qui peut provoquer un état de nervosité, car la personne est reposée, mais moins profondément.
Pour essayer de minimiser les risques, il est donc nécessaire de prendre quelques précautions comme, éviter de téléphoner lorsque l’on se déplace car le mobile cherche et change d’antenne relais, à ce moment là il y a une plus grande concentration de micros ondes très nocives, notamment lorsque le portable est contre la tête. Aussi, lorsque l’on va appeler une personne, pendant le temps d’attente, de recherche, avant la première sonnerie, ces micros ondes sont aussi présentes en grande quantité, il est donc préférable de ne pas coller le téléphone contre son oreille. De plus, lorsque l’on peut, il faut un maximum laisser son portable hors de ses poches, pas sur soi, afin de ne pas nuire aux organes.
Ne pas laisser son portable allumé dans sa chambre la nuit, lorsque l’on dort, est aussi un geste utile et important pour le bien être. Etre reposé profondément permet de se sentir mieux durant la journée, et notamment de se concentrer plus facilement. Cela évite aussi, d’être réveillé par un message ou un appel inattendu, qui pourra très certainement attendre le lendemain !
Le téléphone mobile, est donc un outil très pratique et utile, mais il ne faut pas tomber dans l’excès de son utilisation et prendre garde aux effets néfastes auquel il peut nous soumettre. Les précautions sont utiles et simples, et elles peuvent permettre une meilleure qualité de vie, afin que le portable reste une innovation positive et profitable.
Lucie G
Quelques statistiques pour commencer : en 2002, 15% de la population mondiale possédait un téléphone portable, aujourd’hui, ce chiffre est multiplié par 4, c'est-à-dire qu’en 2009, 60% de la population mondiale possède ce type d’appareil. Rapprochons-nous du continent qui a connu le plus fort taux d’augmentation, l’Afrique. En 2000, 2% des africains possédaient un portable ; en 2009, ils sont 25% en avoir un ! Soit une augmentation de 1350%. Autrement dit, le nombre de téléphone portable présent en Afrique a, en 7 ans, été multiplié par 12,5. Impressionnant n’est-ce pas ? On constate donc que le téléphone portable a connu une ascension importante et rapide. En effet, il s’est très vite imposé aux seins de presque toutes les sociétés, notamment [ce qui est le plus impressionnant, il me semble] de pays ne faisant pas partie des pays « dits » industrialisés. Ce mode de communication a donc connu, aux quatre coins du monde, une ascension vertigineuse, qui, en plus, ne faiblit pas…
Ce que l’on a souvent tendance à oublier, compte tenu du poids qu’occupe le portable de nos jours, c’est que nous sommes la première génération à l’utiliser. Nous ne sommes donc pas en mesure de savoir, si dans plusieurs dizaines d’années, des effets apparaîtront sur la santé des utilisateurs. En effet, certains tests ont révélé que les micros ondes émises par les téléphones sont dangereuses. Elles traversent presque tout en pénétrant profondément dans tous les milieux. Ce qui nous permet, bien évidemment, d’établir la communication grâce à des antennes. Il est donc possible que le cerveau humain subisse des sévices, à cause de ces ondes, et ce n’est pas le seul organe pouvant être touché. Lorsque l’on téléphone, le portable est collé contre la tête, la concentration d’ondes est donc forte et très près du cerveau. Mais aussi lorsque le portable se trouve dans la poche de notre pantalon par exemple, ce sont les organes reproducteurs qui sont très exposés aux ondes, et elles pourraient nuire aux ovaires et testicules, et donc altérer les organes reproducteurs, voir même aller jusqu'à engendrer la stérilité.
De plus, comme tous appareils électriques, les téléphones portables émettent des rayonnements électromagnétiques. Lorsque nous dormons, notre organisme perd une part de ses défenses face aux agressions extérieures ce qui nous rend particulièrement sensibles aux rayonnements. Ils perturbent le sommeil et le rend moins efficace, ce qui peut provoquer un état de nervosité, car la personne est reposée, mais moins profondément.
Pour essayer de minimiser les risques, il est donc nécessaire de prendre quelques précautions comme, éviter de téléphoner lorsque l’on se déplace car le mobile cherche et change d’antenne relais, à ce moment là il y a une plus grande concentration de micros ondes très nocives, notamment lorsque le portable est contre la tête. Aussi, lorsque l’on va appeler une personne, pendant le temps d’attente, de recherche, avant la première sonnerie, ces micros ondes sont aussi présentes en grande quantité, il est donc préférable de ne pas coller le téléphone contre son oreille. De plus, lorsque l’on peut, il faut un maximum laisser son portable hors de ses poches, pas sur soi, afin de ne pas nuire aux organes.
Ne pas laisser son portable allumé dans sa chambre la nuit, lorsque l’on dort, est aussi un geste utile et important pour le bien être. Etre reposé profondément permet de se sentir mieux durant la journée, et notamment de se concentrer plus facilement. Cela évite aussi, d’être réveillé par un message ou un appel inattendu, qui pourra très certainement attendre le lendemain !
Le téléphone mobile, est donc un outil très pratique et utile, mais il ne faut pas tomber dans l’excès de son utilisation et prendre garde aux effets néfastes auquel il peut nous soumettre. Les précautions sont utiles et simples, et elles peuvent permettre une meilleure qualité de vie, afin que le portable reste une innovation positive et profitable.
Lucie G
vendredi 24 avril 2009
Un sondage révélateur...
Il y a quelques jours, j’ai organisé un petit sondage sur ce thème dans mon lycée de Besançon.
Trois questions ont été posées à trois classes de première (soit 67 élèves) :
- Peux-tu te passer de ton portable / ton MP3 / ton ordinateur durant une semaine ?
- Penses-tu en être dépendant. ?
- Connais-tu les différents stades de la consommation ?
Jugez des résultats :
- 54% des interrogés déclarent ne pouvoir se passer de ses écrans durant une semaine
- 57% pensent être dépendants
- 79% ne connaissent pas les stades de la consommation
Trois questions ont été posées à trois classes de première (soit 67 élèves) :
- Peux-tu te passer de ton portable / ton MP3 / ton ordinateur durant une semaine ?
- Penses-tu en être dépendant. ?
- Connais-tu les différents stades de la consommation ?
Jugez des résultats :
- 54% des interrogés déclarent ne pouvoir se passer de ses écrans durant une semaine
- 57% pensent être dépendants
- 79% ne connaissent pas les stades de la consommation
mardi 21 avril 2009
Un message d'une de mes élèves...
Ce qui me semble très important, c'est l'éducation que les parents doivent transmettre à leurs enfants sur cette nouvelle technologie. Malheureusement je pense que le problème qui se pose est que, eux-mêmes ne connaissent pas toujours bien cette dernière technologie, et bien souvent moins que leurs enfants.
Les "conseils pour éviter tout cela" me paraissent donc vraiment incontournables et pour moi il faut les répéter et répéter aux enfants. Afin de les éduquer et de leurs apprendre à se servir de ce moyen de communication et d'information très vaste.
Car internet n'est pas mauvais à condition de savoir s'en servir, d'être vigilant et de pouvoir: trouver des informations, communiquer et chercher autre part que sur la toile, car internet est UN outil parmi de nombreux autres.
Le risque se trouve dans l'ignorance.
Lucie G
Les "conseils pour éviter tout cela" me paraissent donc vraiment incontournables et pour moi il faut les répéter et répéter aux enfants. Afin de les éduquer et de leurs apprendre à se servir de ce moyen de communication et d'information très vaste.
Car internet n'est pas mauvais à condition de savoir s'en servir, d'être vigilant et de pouvoir: trouver des informations, communiquer et chercher autre part que sur la toile, car internet est UN outil parmi de nombreux autres.
Le risque se trouve dans l'ignorance.
Lucie G
dimanche 29 mars 2009
Internet, entre vous et moi
La France compte plus de 20 millions d’internautes et 10 millions des foyers sont équipés d’ordinateurs.
Or, de nombreux risques sont encourus lors de leur usage :
· addiction
· baisse des résultats scolaires
· risque de désocialisation, d’isolement
· risque de sédentarité (et donc prise de poids)
· risque d’identification aux personnages de jeux vidéo : la notion de virtualité devient floue, la conscience du monde diminue.
· contenus indésirables et préjudiciables (haine, violence, racisme, sectarisme, pornographie)
· mauvaises rencontres (pédophilie, agréssions, …)
· trouble du sommeil et risque d’insomnie, sensation de fatigue le matin, trouble de concentration
· douleurs physiques : mal de tête, mal de dos
· problèmes visuels : troubles de la vision, fatigue visuelle
· risque d’épilepsie
Quelques conseils pour éviter tout cela :
· ne pas donner son nom, son prénom, son âge, son adresse ou son téléphone
· ne pas envoyer de photo de soi
· rester prudent : internet est comme une rue peuplée d’inconnus
· ne pas délaisser son travail scolaire
· se fixer un temps limite d’usage
· attention au blog : n’importe qui peut y accéder, se servir de son contenu ou le détourner
· toute information ou photographie est régie par des lois précises (droit d’auteur, droit sur l’image de soi,…) : attention à ne pas les enfreindre sous peine de sanction !
Or, de nombreux risques sont encourus lors de leur usage :
· addiction
· baisse des résultats scolaires
· risque de désocialisation, d’isolement
· risque de sédentarité (et donc prise de poids)
· risque d’identification aux personnages de jeux vidéo : la notion de virtualité devient floue, la conscience du monde diminue.
· contenus indésirables et préjudiciables (haine, violence, racisme, sectarisme, pornographie)
· mauvaises rencontres (pédophilie, agréssions, …)
· trouble du sommeil et risque d’insomnie, sensation de fatigue le matin, trouble de concentration
· douleurs physiques : mal de tête, mal de dos
· problèmes visuels : troubles de la vision, fatigue visuelle
· risque d’épilepsie
Quelques conseils pour éviter tout cela :
· ne pas donner son nom, son prénom, son âge, son adresse ou son téléphone
· ne pas envoyer de photo de soi
· rester prudent : internet est comme une rue peuplée d’inconnus
· ne pas délaisser son travail scolaire
· se fixer un temps limite d’usage
· attention au blog : n’importe qui peut y accéder, se servir de son contenu ou le détourner
· toute information ou photographie est régie par des lois précises (droit d’auteur, droit sur l’image de soi,…) : attention à ne pas les enfreindre sous peine de sanction !
samedi 28 mars 2009
Des infos, toujours des infos...
Quelques infos trouvées sur l'excellent site de l'association Le Cap, référent dans ce domaine:
D’après une étude scientifique américaine, 6% des usagers du web souffriraient de
dépendance à internet. En Alsace, où 84% des plus 15 ans sont équipés, cela représenterait… près de 70.000 personnes !
Bien entendu, ce nombre est exagéré, puisque dans un foyer toutes les personnes ne se connectent pas régulièrement. Les « addicts » seraient composés pour 2/3 d’hommes et 1/3 de femmes. Au début, seuls les 20 à 30 ans étaient concernés, aujourd’hui ce phénomène touche de plus en plus d’adolescents.
La notion de « cyber-addiction » est large et peut prendre des formes multiples : « chat » excessif, addiction aux jeux vidéos - quel qu’en soit le support -, télévision ou connexion Internet quasi-permanente, « cyber-sexualité ».
Trois stades pour passer de l’usage normal à la dépendance:
D’abord, il y a un usage simple, curieux, convivial : la découverte et la recherche de nouvelles sensations, d'expérience ou de loisirs inédits.
Ensuite, on trouve l’abus : la quête insatiable du plaisir, pour profiter des effets des produits ou d'une conduite addictive malgré les premiers méfaits. Consommer davantage dans le seul but de "vivre mieux" et/ou "moins souffrir" avec soi-même et avec les autres. C'est la recherche de la performance sous l'action d'un produit ou d'un comportement. Enfin, on peut tomber dans la dépendance ou « addiction », dont l’origine sémantique proche de la notion d’esclavage est plus appropriée. La dépendance s'installe dès que l'on ne peut plus se passer de l'objet ou de la substance choisie sous peine de souffrance physique et/ou psychique. La privation d'un comportement addictif entraîne chez l'usager une sensation de malaise, d'angoisse, d'irritabilité, allant jusqu'à la dépression.
Passer de l'abus à la dépendance, c'est passer de l'envie au besoin.
Pour en savoir plus: http://www.le-cap.org/
D’après une étude scientifique américaine, 6% des usagers du web souffriraient de
dépendance à internet. En Alsace, où 84% des plus 15 ans sont équipés, cela représenterait… près de 70.000 personnes !
Bien entendu, ce nombre est exagéré, puisque dans un foyer toutes les personnes ne se connectent pas régulièrement. Les « addicts » seraient composés pour 2/3 d’hommes et 1/3 de femmes. Au début, seuls les 20 à 30 ans étaient concernés, aujourd’hui ce phénomène touche de plus en plus d’adolescents.
La notion de « cyber-addiction » est large et peut prendre des formes multiples : « chat » excessif, addiction aux jeux vidéos - quel qu’en soit le support -, télévision ou connexion Internet quasi-permanente, « cyber-sexualité ».
Trois stades pour passer de l’usage normal à la dépendance:
D’abord, il y a un usage simple, curieux, convivial : la découverte et la recherche de nouvelles sensations, d'expérience ou de loisirs inédits.
Ensuite, on trouve l’abus : la quête insatiable du plaisir, pour profiter des effets des produits ou d'une conduite addictive malgré les premiers méfaits. Consommer davantage dans le seul but de "vivre mieux" et/ou "moins souffrir" avec soi-même et avec les autres. C'est la recherche de la performance sous l'action d'un produit ou d'un comportement. Enfin, on peut tomber dans la dépendance ou « addiction », dont l’origine sémantique proche de la notion d’esclavage est plus appropriée. La dépendance s'installe dès que l'on ne peut plus se passer de l'objet ou de la substance choisie sous peine de souffrance physique et/ou psychique. La privation d'un comportement addictif entraîne chez l'usager une sensation de malaise, d'angoisse, d'irritabilité, allant jusqu'à la dépression.
Passer de l'abus à la dépendance, c'est passer de l'envie au besoin.
Pour en savoir plus: http://www.le-cap.org/
vendredi 27 mars 2009
Définition: addiction media
· Addiction : État de besoin vis-à-vis d’une drogue ou d’une pratique (jeux, achats compulsifs…) qui marginalise l’individu et le met en souffrance. L’addiction se rapproche de la dépendance, mais elle s’étend à d’autres domaines que l’usage de drogue. Elle provoque un manque, un besoin vis-à-vis d’une activité ou d’une substance. Les personnes ayant un comportement addictif agissent par besoin et voient dans ce comportement un moyen de se sentir mieux.
· Media : Moyens de communication et de diffusion d’informations (internet, télévision, téléphone,…).
L’addiction média se centre donc sur toute dépendance à l’univers informatique. Elle a des conséquences physique et psychologique sur l’individu.
· Media : Moyens de communication et de diffusion d’informations (internet, télévision, téléphone,…).
L’addiction média se centre donc sur toute dépendance à l’univers informatique. Elle a des conséquences physique et psychologique sur l’individu.
jeudi 26 mars 2009
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